Always-On Business avec Veeam

Le Modern Business, c’est une entreprise qui tourne 24/7, sans interruption, et dont le personnel est disséminé géographiquement. Pour que ce soit possible, il a fallu créer des services IT modernes, accessibles à tout moment et de n’importe où. Veeam l'a compris et livre 3 incontournables pour protéger les données et assurer une continuité d’activités

June 16, 2014

Le Modern Business, c’est une entreprise qui tourne 24/7, sans interruption, et dont le personnel est disséminé géographiquement. Pour que ce soit possible, il a fallu créer des services IT modernes, accessibles à tout moment et de n’importe où. Veeam l’a compris et livre 3 incontournables pour protéger les données et assurer une continuité d’activités

Le Cloud et l’IT-as-a-Service ont répondu à ces besoins et ont conduit au développement du Datacenter Moderne, qui doit être capable de fournir ces services. Plus que tout, le Modern Business a clairement révélé que dans notre monde moderne, la continuité des activités et la protection des données doivent être remises au goût du jour.

« La protection des données telle qu’elle existe aujourd’hui a été pensée en fonction du modèle 9h-17h, c’est-à-dire selon les heures de bureau traditionnelles, explique Ronald Ooms, Regional Director Benelux chez Veeam Software (en photo). Le modèle était simple : éviter autant que possible le downtime pendant les heures de bureau et le planifier pendant les heures de fermeture de l’entreprise. Mais aujourd’hui, il faut que la protection des données et les processus qui assurent la continuité d’activités couvrent une plus longue partie de la journée—si pas toute—, et que l’équipe IT puisse installer et tester des mises à jour sans impact dérangeant sur les activités de l’entreprise.»

Mauvaise évaluation

Souvent sur un projet, les processus de protection des données comme la sauvegarde et la récupération sont relayés en toute fin du cahier des charges. Ils se retrouvent en bout de liste lors de la planification d’un projet—pour peu qu’ils y figurent !— voire ne sont pris en compte qu’une fois le projet terminé.

« Maintenant que les organisations migrent vers des datacenters modernes qui fonctionnent sans interruption, il est essentiel qu’elles aient une solide compréhension de ce qu’elles détiennent en matière de données, dont elles doivent disposer d’une copie bétonnée avant d’entamer la migration, observe Ronald Ooms. Si cet environnement peut être ensuite utilisé tel quel comme base pour la migration, parfait. Encore faut-il pouvoir le tester pour que la situation voulue corresponde à la réalité. Prévus ou pas, les downtimes n’auront ainsi plus d’impact direct sur le fonctionnement de l’organisation.

Par effet de cascade, l’importance de la protection des données a changé. De la réplication à la sauvegarde et la récupération, la protection des données et la continuité des activités sont devenues indissociables du succès d’une entreprise moderne. Elles doivent figurer parmi les premières considérations de tout projet informatique ou stratégique.»

Une bonne planification pour contrer un mauvais rendement

Au moment d’intégrer la protection des données au sein d’un projet IT, une organisation doit gérer de nombreuses considérations, notamment le choix du support de sauvegarde et de récupération. En commençant un projet, 4 questions permettent d’identifier les risques :

  • Quel(s) effet(s) aurai(en)t un plantage des services ? Lors de l’implémentation, par exemple, d’un nouveau serveur mail, quel serait l’impact d’une panne de messagerie durant quelques minutes, heures, voire plusieurs jours ?
  • A combien s’élèvera l’épargne due à la protection des données ? S’il est difficile pour les décisionnaires d’une organisation de quantifier les actions entreprises pour empêcher les arrêts non planifiés, le département IT peut prouver la valeur d’une stratégie moderne de protection des données en démontrant comment celle-ci réduit le nombre de downtimes.
  • Quel est le downtime maximum que peut se permettre l’organisation ? Quel est le scénario du pire et quel plan doit être mis sur pied pour l’éviter à tout prix ?
  • Quelle est le plus long downtime acceptable ? Pour la plupart des entreprises, il est proche de zéro, mais il est essentiel de réaliser des SLA et des benchmarks pour les connaître d’avance.

Réduire les risques

Après avoir répondu à ces questions, l’organisation aura une bonne compréhension des risques liés à son projet informatique, des bénéfices apportés par la protection des données et du niveau de performances dont elle a besoin. Ces informations réunies, elle peut mettre au point une protection des données et une politique de continuité d’activités au sein de son projet IT. Quelques considérations pratiques peuvent être cependant prises en compte, que l’on peut diviser en trois parties :

« Primo, il y a la manière dont l’organisation minimise les downtimes. L’équipe doit être claire sur les Recovery Time Objectives (c-à-d la durée du downtime) et les Recovery Point Objectives ( c-à-d la quantité de données qui peut être perdue) pour chaque élément de l’infrastructure. » Il faut ensuite décider quelle quantité de l’infrastructure sera répliquée et donc disponible immédiatement en cas de crash, et quelle quantité sera ‘simplement’ sauvegardée, ce qui augmente non seulement les risques de downtimes plus longs, mais aussi ceux d’une perte irréversible des données. Dans tous les cas, l’équipe doit s’assurer d’utiliser des techniques conçues pour les centres de données modernes et des services informatiques qui peuvent garantir un temps de disponibilité proche des 100%.

« Secundo, l’équipe doit examiner la fiabilité de la protection des données. Les organisations doivent être en mesure de valider chaque sauvegarde pour s’assurer de sa possible restauration : après tout, la protection des données est sans valeur si, quand les choses se gâtent, les données ne peuvent pas être récupérés. La stratégie doit également inclure les downtimes non planifiés dans ses considérations. Par exemple, comment une organisation peut-elle éviter des perturbations quand elle a besoin de tester et lancer des mises à jour logicielles ? Puisque la virtualisation réduit le coût de l’infrastructure informatique et fait chuter les coûts de stockage, la création d’une infrastructure distincte est une possibilité de faire en sorte que les mises à jour ne causent pas plus de downtime que les pannes réelles.

Tertio, l’organisation doit décider où conserver ses sauvegardes, et dans quel format. Restent-elles sur place ou sont-elles plus en sécurité hors site ? Sont-elles dans un Cloud privé, un Cloud public ? Ou la sauvegarde fonctionne-t-elle elle-même comme un service ? Est-ce que des formats de stockage comme sur bandes sont encore utilisés ? L’organisation a-t-elle considéré un scénario du pire et effectué une sauvegarde de ses sauvegardes comme dispositif de sécurité final ? » A nouveau, la baisse des coûts des infrastructures virtuelles et du stockage peuvent en faire une option valable. La décision finale dépendra de chaque entreprise, de ses besoins et de sa stratégie d’ensemble.»

Quelles que soient les réponses d’une entreprise à ces questions, le plus important est que la protection des données devienne une partie intégrante de la stratégie informatique de chaque organisation. Sans cela, elles ne seront pas en mesure d’utiliser les services informatiques modernes d’un centre de données moderne en toute confiance.

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