92 % des organisations innovent plus vite avec le cloud

Selon 90 % des entreprises, le cloud les aide à innover plus vite. C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude d’Oracle, menée par IDG Connect. Plus de la moitié des organisations (51 %) prévoient d’atteindre le stade de maturité du cloud dans les deux prochaines années, tandis que leurs préoccupations lors du passage au cloud ont changé.

February 19, 2016

Selon 90 % des entreprises, le cloud les aide à innover plus vite. C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude d’Oracle, menée par IDG Connect. Plus de la moitié des organisations (51 %) prévoient d’atteindre le stade de maturité du cloud dans les deux prochaines années, tandis que leurs préoccupations lors du passage au cloud ont changé.

La sécurité était auparavant la principale crainte qui retenait les organisations d’opter pour un cloud hybride. Aujourd’hui, elles s’inquiètent plutôt de la gestion de plusieurs architectures informatiques et de la bande passante. La sécurité reste la première préoccupation des entreprises qui bâtissent des infrastructures avec un cloud privé.

Les sondés ont également cité un autre facteur important pour que les d’infrastructures cloud privées et hybrides soient couronnées de succès : le soutien des principaux décideurs de l’organisation. Il apparaît donc que le département informatique n’est plus le seul à influencer les implémentations cloud. Ces résultats suggèrent en effet que le rôle du CIO est plus important que jamais pour coordonner plusieurs architectures et en expliquer les avantages au reste de l’entreprise.

Voici les principaux résultats de l’étude :

  • 92 % des sondés déclarent que le cloud les aide à innover plus vite, 73 % à conserver leurs clients existants et 76 % à en attirer de nouveaux.
  • Une entreprise sur cinq (19 %) a atteint le stade de « maturité du cloud ». Plus de la moitié (51 %) compte atteindre ce stade dans les deux ans.
  • Pour 33 % des sondés, susciter un mouvement d’opinion favorable auprès des principaux décideurs d’une organisation est le premier facteur de succès de l’implémentation d’un cloud hybride, suivi par le rapport coût/efficacité (25 %) et l’établissement d’une bonne relation avec un fournisseur (22 %).
  • Les principaux obstacles à l’adoption d’un cloud hybride sont la gestion de plusieurs architectures informatiques (selon 60 % des sondés), la bande passante (57 %) et la relation avec le fournisseur informatique (52 %).

Johan Doruiter, Senior Vice President d’Oracle Systems pour l’EMEA, déclare : « Tandis que le cloud atteint rapidement sa phase de maturité, nous constatons un changement dans la façon dont les entreprises perçoivent les principaux avantages et défis liés à son adoption. Auparavant, elles s’inquiétaient de la sécurité des données et de la fiabilité, alors qu’aujourd’hui ces deux points sont les principaux atouts du cloud d’après la plupart des entreprises. Ces vieilles craintes sont remplacées par la complexité de la gestion de plusieurs architectures informatiques et de la bande passante. Les organisations qui ont déjà atteint le stade de maturité du cloud attachent de plus en plus d’importance à avoir une vue d’ensemble consolidée de leurs environnements publics, privés et hybrides. »

« Nous constatons une différence compréhensible en matière de sécurité entre les implémentations de clouds privés et hybrides », ajoute Bob Johnson, Vice President et analyste principal d’IDG Connect. « La sécurité est la principale préoccupation des entreprises qui se concentrent sur les implémentations de clouds privés car les workloads professionnels sont déplacés dans le cloud. Les organisations avec un mélange hybride de services cloud sur site et publics voient les nombreux avantages de la mise à disposition de leur infrastructure à leurs partenaires et clients, qui leur permet de profiter de systèmes de sécurité plus puissants, complexes et sophistiqués. »

Le rapport complet de l’étude peut être téléchargé ici.

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