Le lux future lab assoit sa position cette année

Lancé il y a deux ans par BGL BNP Paribas, le lux future lab compte aujourd’hui 17 start-ups qui ont créé quelques 170 emplois sur la Place. Surtout, l’année 2014, a été l’année de l’internationalisation du lux future lab avec l’arrivée de start-ups américaines, canadiennes, israéliennes, japonaises, italiennes, etc., permettant ainsi à l’incubateur de conforter sa place parmi les acteurs importants de l’entrepreneuriat luxembourgeois. Plus qu’une simple aide aux start-ups, le lux future lab joue également le rôle de soutien au développement du pays.

December 18, 2014

Lancé il y a deux ans par BGL BNP Paribas, le lux future lab compte aujourd’hui 17 start-ups qui ont créé quelques 170 emplois sur la Place. Surtout, l’année 2014, a été l’année de l’internationalisation du lux future lab avec l’arrivée de start-ups américaines, canadiennes, israéliennes, japonaises, italiennes, etc., permettant ainsi à l’incubateur de conforter sa place parmi les acteurs importants de l’entrepreneuriat luxembourgeois. Plus qu’une simple aide aux start-ups, le lux future lab joue également le rôle de soutien au développement du pays.

« 2014 a été une année importante pour nous et a confirmé le bien fondé de notre idée de base qui était d’impacter la dynamique sociale et économique au Luxembourg en soutenant les personnes au croisement de leur développement professionnel par la mise à disposition d’un incubateur ou d’une formation adaptée. Cette année, nous avons eu beaucoup de nouveaux développements avec notamment l’arrivée de 7 nouvelles start-ups et d’Olivier Selis comme manager du lux future lab, » explique Karin Schintgen, Directeur lux future lab et RSE BGL BNP Paribas (en photo).

Une belle année entrepreneuriale !

Le lux future lab a un portefeuille assez diversifié de start-ups grâce à sa politique d’acceptation ouverte sur de nombreux secteurs tels que les social media, la sécurité informatique, les médias et la communication ou encore les technologies financières. Les 17 start-ups de 11 nationalités différentes montrent clairement que le Luxembourg est définitivement une plateforme internationale et ouverte.

Le lux future lab bénéficie de sa situation géographique au centre-ville et du lien avec BGL BNP Paribas qui lui offre un vaste réseau international et, avec l’Atelier à Paris, un des plus anciens centre de veille technologique. Il propose des programmes adressant les besoins de ses trois publics cibles :

  1. Pour les lycéens : une ‘Summer School’ de deux semaines sous le thème « à Luxembourg on peut être autre chose que fonctionnaire, banquier ou consultant », offrant une orientation sur des carrières futures et montrant notamment comment entreprendre au Luxembourg, planifier et présenter un projet.
  2. Pour les start-uppeurs : un programme de formations adaptées en coordination avec les autres acteurs de la Place. Dans ce cadre, le lux future lab organise tous les ans un pitching day au cours duquel des start-ups locales et les start-ups du « Camping » à Paris présentent leurs projets. En 2014, 12 start-ups sont venues présenter leurs projets.
  3. Pour les personnes déjà engagées dans une carrière mais voulant se lancer dans l’entrepreneuriat, un programme ‘Intrapreneurship’ d’une année.

Offrir le meilleur

Toutes les start-ups hébergées sont à dominance IT et plusieurs d’entre elles ont déjà connu un beau succès comme q-leap, TheMarketsTrust, Trendiction, Excellium Services ou MangoPay. Reconnues innovantes, elles participent au bouleversement des business models de la Place.

« Nous ne sommes pas positionnés au début du process, là où il s’agit d’élaborer et de concrétiser les idées – ce qui se fait souvent sur des co-working stations. Les start-ups que nous rencontrons ont déjà élaboré leur Business Plan et leur Proof of Concept, et elles sont déjà incorporées. En cela, notre initiative est très complémentaire d’autres actions publiques et privées. Notre écosystème essaie, sans trop se concurrencer, d’offrir les meilleures chances de développement aux start-ups. Je pense que le Luxembourg est un bon écosystème pour démarrer une start-up. Il offre une excellente situation au cœur de l’Europe, des voies administratives relativement courtes, une bonne infrastructure au niveau des Data Centers, et surtout une plateforme très internationale et donc bien adaptée aux besoins de développement rapides des start-ups. Nous sommes ravis de voir beaucoup de projets prometteurs portés par des jeunes et, il faut le noter, aussi des moins jeunes, plein de talent et de maturité, ce qui est bon signe pour l’avenir, » conclut Karin Schintgen.

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