L’expertise du coffre-fort bancaire au service du dossier patient

Question de gènes. A Luxembourg, le respect de la confidentialité des échanges est inscrit dans la culture, les procédures et les usages. Dès lors, c’est tout naturellement qu’un pont se dresse entre les règles du secret bancaire et du secret médical.

February 27, 2014

Question de gènes. A Luxembourg, le respect de la confidentialité des échanges est inscrit dans la culture, les procédures et les usages. Dès lors, c’est tout naturellement qu’un pont se dresse entre les règles du secret bancaire et du secret médical.

A Paris, à l’occasion de la 6ème édition des GS Days, les Journées Francophones de la Sécurité de l’Information, qui se tiendra le 18 mars à l’Espace Saint-Martin, l’agence eSanté luxembourgeoise mettra sous le microscope le parallèles entre la privacy du monde des affaires et celui de la santé.

« Comment mettre en œuvre un projet national de plateforme eSanté, intégrant les données hautement critiques d’un potentiel de 1,8 million de personnes ?, interroge l’agence. Qui plus est, dans un contexte transfrontalier ? Les informations traitées dans le cadre du Dossier de Soins Partagé (DSP) sont extrêmement sensibles : leur disponibilité, leur sécurité et leur intégrité doivent être garanties. Notre intervention consistera à illustrer les meilleures pratiques et référentiels mis en œuvre pour l’architecture et la gestion de la plateforme eSanté dans un modèle de Cloud communautaire (Tier IV, IHE, PCI DSS, SI, etc.) »

Ce témoignage sera assuré par Hervé Barge, Directeur de l’Agence Luxembourgeoise e-Santé (en photo) et Didier Barzin, son RSSI et Michel Ackerman, Business Consultant d’EBRC.

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